Bonjour à toutes et à tous,

Pour commencer, bravo ! Bravo et félicitations d’être ici, tu es au bon endroit, et je vais t’expliquer pourquoi un peu plus bas.
Moi, c’est Logan, 35 ans, papa d’un garçon de 4 ans et d’une fille de 1,5 ans. C’est sans doute mon occupation principale, ma première définition. J’habite à Vergèze, dans le sud de la France, entre Nîmes et Montpellier.
Pour t’accompagner au mieux dans ton objectif de transformation, je vais devoir apprendre à te connaître. Tu vas devoir me faire confiance, et pour cela, il est important que tu comprennes qui je suis et comment j’en suis arrivé là.
J’ai obtenu un master en entrepreneuriat et marketing, travaillé en tant que commercial et informaticien, et créé ma première entreprise dans la création web et l’animation graphique. J’ai également travaillé comme informaticien pour l’Éducation nationale, et à force de côtoyer des professeurs, je me suis dit que ce métier était plutôt sympa…

J’ai donc passé le concours pour devenir enseignant en lycée professionnel, suivi d’un second master dans les métiers de l’enseignement. Depuis bientôt 10 ans, j’enseigne l’économie-gestion en lycée professionnel.

Après la naissance de mes deux enfants, j’ai enchaîné deux “couvades” (grossesses empathiques) et pris beaucoup de poids. Je suis passé de la taille M à L, puis à XL.
Dans ma jeunesse, je faisais beaucoup de sport, mais mon alimentation était composée de fast-foods deux fois par jour. Ça passait à l’époque, mais on ne se voit pas vieillir…
À 33 ans, je pesais 92 kilos pour 1m69, je portais du XL, souffrais de cholestérol et d’hypertension, et j’étais constamment épuisé. Je pouvais m’endormir en jouant avec mon fils sur le carrelage du salon.

Puis, la naissance de ma fille a provoqué un déclic. Je me suis dit qu’il n’était plus possible de continuer ainsi, surtout dans une société où il faut attendre trois semaines pour un rendez-vous chez son médecin généraliste, six mois pour un ORL, et un an pour voir un dermatologue. Je voulais être un papa présent et en forme pour mes enfants, et cela sur le long terme.
Mon rêve ? Partir au Tibet avec mes enfants lorsqu’ils auront 20 ans, à mes 50-53 ans, et avoir la même forme qu’eux.
Je me suis donc remis au sport avec des programmes de musculation et cardio via une application. J’ai téléchargé une autre application pour suivre mon alimentation, en scannant, pesant et enregistrant tout ce que je mangeais avec une discipline presque obsessionnelle. Mon objectif : respecter mes macros (protéines, glucides, lipides) et mes calories quotidiennes.

Le résultat ? Une perte de 14 kilos en 5 mois. Mais le problème était là : je ne voulais pas reprendre 20 kilos, et je savais que je ne pourrais pas maintenir ce rythme effréné indéfiniment. Je culpabilisais même en mangeant une simple glace avec mon fils à la mer. Manger n’était plus un plaisir, seulement des chiffres à calculer. J’étais bloqué.
C’est là que la première révélation est arrivée. Un soir, ma femme et moi cherchions quelque chose à regarder sur Netflix. Elle m’a proposé un reportage sur la nutrition et le sport. Pourquoi pas.
Et là, coup de tonnerre. Je me suis pris une claque monumentale, mais salutaire. Le documentaire mettait en avant les plus grands sportifs du monde, tous passés à une alimentation 100% végétale. Il s’appuyait sur de nombreuses études et faisait écho à la protection des animaux, un sujet qui me touche particulièrement.
Un des intervenants, ancien ranger dans une réserve en Afrique, protégeait les animaux le jour et en mangeait d’autres le soir. Pourquoi cette différence de traitement ? J’avais moi-même fait beaucoup d’éco-volontariat, de la Russie aux éléphants du Sri Lanka, et cette réflexion m’a ouvert les yeux. Ce soir-là, j’ai regardé ma femme (qui était déjà végétarienne) et je lui ai dit : “Ça te dit qu’on arrête tout produit d’origine animale à partir de demain ?”

Gros blanc. En théorie, on ne devient pas végan en une nuit… mais à cœur vaillant, rien d’impossible !

Il faut dire que je partais de loin. Je n’avais mangé mon premier légume qu’à 25 ans, je consommais 4 à 5 œufs par jour, et les apéros étaient garnis de charcuteries et fromages. Bref, j’étais un vrai carnivore. Mais motivé.
Avec ma femme, on a testé, cherché, et galéré. Remplacer les œufs dans les crêpes ? Difficile. Adieu le saucisson, la vie sociale, et même les questions étranges comme celle de mon père, qui me demandait si l’œuf était un fruit à coque. Mais on n’a rien lâché, et petit à petit, la viande me dégoûtait. Nos amis et notre famille ont fini par s’adapter et, finalement, tout le monde a remarqué que j’avais une forme olympique.
J’aime croire qu’ils admirent ce changement, même si beaucoup hésitent à franchir le pas, trouvant cela trop compliqué.
Une citation de Sebastian Kneipp résume bien ma pensée : « Ceux qui ne trouvent pas un peu de temps chaque jour pour leur santé devront sacrifier beaucoup de temps un jour pour leur maladie. »
Je me sentais devenir une meilleure version de moi-même. Sportivement parlant, je fais aujourd’hui des choses que je ne pouvais pas accomplir à 20 ans. J’ai de l’énergie, je n’ai jamais faim, mais je restais obsédé par le fait de peser et compter chaque calorie.
C’est là que la deuxième révélation a eu lieu. Je me suis dit que j’étais devenu plutôt calé en nutrition, et j’avais envie d’aider les autres, notamment mes élèves, qui avaient des habitudes alimentaires désastreuses. Une élève, par exemple, ne buvait qu’un verre d’eau par jour, croyant que cela faisait gonfler le ventre…
En tant que professeur (et rêveur dans l’âme), j’avais besoin de légitimité. Je me suis donc lancé à la recherche d’une formation et j’ai découvert l’école 5.3 Sport et Santé. J’y ai suivi une formation en nutrition et cela a radicalement changé ma vie. Ce que je croyais savoir, façonné par l’éducation, les lobbys et le marketing, a volé en éclats.

J’ai découvert le concept de “pleine santé” et les 5 facteurs du vivant du Dr Rougier (le formateur). J’ai arrêté de peser mes aliments, j’ai appris à m’écouter, à me faire plaisir, tout en restant végan, sans culpabiliser.
Aujourd’hui, je n’ai repris aucun kilo, et même mieux, mon poids continue à s’ajuster naturellement. Je suis passé de 92 kilos à 77 kilos, et je porte de nouveau des T-shirts taille M.
Si tu es encore là à lire cette présentation, c’est que tu es au bon endroit. Ce bonheur que j’ai découvert, je souhaite te le partager. Je veux t’accompagner dans ta propre transformation et te guider vers une pleine santé à travers une expérience unique et 100% personnalisée.
Alors, cap de me dire non ?